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Mes guérisons miraculeuses


En l'an 2000 j'avais adopté une attitude rétrograde parce que trop absorbé par toutes ces nouvelles technologies numériques qui accaparaient toute mon attention. Sans trop m'en rendre compte je faisais de mon travail le centre d'intérêt de toute ma vie (la Bible appelle cela l'idolâtrie) Un dimanche, alors que j'effectuais des tests sur ma dernière acquisition, une imprimante numérique géante de plus de 3 mètres d'envergure, la colère me prit après plusieurs essais infructueux et le fait que je me sois remis à fumer et à boire n'arrangeait rien, que ce soit moralement , physiquement ou spirituellement.


Je précise que, à ma conversion, j'avais été délivré de ces deux fléaux et que mon attitude rétrograde et anxieuse due aux dernières tribulations de ma vie personnelle m'avait affaibli. Je m' entêtais à vouloir résoudre seul ces problèmes, mais je me voyais m'enliser progressivement dans une autre sorte de déchéance, la pire lorsqu'on marche sous le regard de Dieu et que l'on endurcit son cœur en plaçant ses regards sur les choses du monde avec passion.


"Comment ?" Direz-vous. "Après toutes ses expériences avec Dieu, le voilà qui sombre à présent !"


D'autant que depuis, les bénédictions s'étaient multipliées ....


Comprenez bien que je ne prétends pas que celui qui n'a pas reçu tout cela n'est pas béni, mais je veux simplement dire que Dieu a répondu à tous mes désirs. J'en connais qui m'en voudraient de prétendre que la richesse est une bénédiction ! Pourtant, bien que n'approuvant pas ceux qui prêchent un Evangile de prospérité, de nombreux récits bibliques nous montrent que Dieu bénit aussi matériellement et qu'il s'agit véritablement de bénédictions.


Mais alors, qu'est-ce qui avait bien pu faire tomber un chouchou du Seigneur comme moi ?


Je dirais que le pire ennemi de l'homme, c'est lui-même, animé par ce que lui dicte son cœur ! Pour en revenir à ce fameux dimanche où j'étais resté à l'atelier pour tester ma nouvelle machine (et ce n'était pas le premier dimanche que je me réservais plutôt que de me rendre au culte), ce jour-là, animé de rage parce que ma machine ne me donnait pas toutes les satisfactions que j'étais en droit d'espérer, je poussais violemment un billard qui était dans mon atelier.


En poussant violemment ce pauvre billard (qui se demandait probablement ce qui lui valait d'être brutalisé de la sorte), je ressentis une brûlure au bas du dos, dans la colonne vertébrale.


Je continuais intempestivement à déménager tout sur mon passage et, dans ma colère, j'avoue que j'en voulais à Dieu de ce que tant de choses puissent m'échapper.


Dans les jours qui ont suivi, la douleur empirait dans mon dos au point que je ne pouvais plus me baisser, ni marcher vingt mètres d'une traite sans devoir m'arrêter. De plus, une autre douleur parcourait toute ma jambe.


Je pensais que cela finirait par s'atténuer mais, à l'inverse, je ne pouvais plus bouger et le mal s'aggravait.


Je pris donc la décision de consulter un spécialiste et, après les résultats d'un scanner, le verdict tombait comme un couperet Hernie discale entre la 6ème et 7ème lombaire


Le rendez-vous fut pris et l'opération eut lieu comme prévu.


Mais ce qui n'était pas prévu c'est le résultat post-opératoire, en effet, je ne parvenais plus du tout à me lever et la douleur atteignait son paroxysme, au grand désarroi du Chirurgien qui ne cessait de répéter je ne comprends pas !


Constatant que je n'avais rien à attendre de lui, compte tenu des suites imprévisibles de cette intervention, je demandais à mes employés de me ramener chez moi et signais une décharge à la clinique, ce qui ne manqua pas d'entraîner une violente réaction du chirurgien !


J'ai continué mon travail avec une énorme ceinture autour des reins, ajouté à cela des piqûres de je ne sais quoi, mais, malgré cela, la douleur devenait chaque jour plus intolérable.


Je me décidais donc à consulter un autre spécialiste qui me fit passer un IRM. A notre stupéfaction, ce qui n'apparaissait pas sur le scanner se voyait de façon très nette sur les nouvelles radios et elles mettaient en évidence que deux vertèbres étaient écrasées l'une sur l'autre et, comme cet aspect n'était visible que de l'intérieur, seul l'IRM pouvait le dévoiler.


Cela faisait bientôt 12 mois que je traînais ce mal et six mois que j'avais été opéré. Le choix du nouveau chirurgien était de solidariser quatre des vertèbres par un bracelet en titane vissé sur celles-ci !


L'idée de me faire visser une plaque dans le dos ne m'enthousiasmait pas du tout et la convalescence de trois mois encore moins compte tenu de mon activité artisanale qui nécessite toute ma présence au risque de subir un grave préjudice. Pourtant, il n'existait aucune autre alternative !


Je répondis au chirurgien que j'allais voir mon planning pour essayer de concilier l'opération avant la période des vacances juillet-août afin de limiter mon absence ce, eu égard à ma clientèle.


Je travaillais à mi-temps et, le reste de la journée, je restais dans ma chambre, cherchant constamment une position à peu près confortable.


Je refaisais le point sur ma vie passée et sur ce qui m'avait progressivement éloigné du Seigneur car, en définitive, j'avais belle et bien lâché sa main.


Je dirais que c'est très subtil, on reste attaché à Dieu, mais on s'intéresse à autre chose et c'est cette nouvelle passion qui grignote petit à petit sur le temps de prière, sur le temps des réunions, sur les jours de cultes, sur notre intimité avec Jésus.


On fait de nouveau partie du monde, on répond à une invitation pour un apéritif, , à une sortie au restaurant, on dit oui aux cigarettes, "juste pour discuter", et le piège se referme sur vous !


Je commençais à me rappeler toutes ces expériences merveilleuses que j'avais vécues avec mon Dieu, tous ses bienfaits envers moi et, ce jour là, je méditais sur ce passé si merveilleux que j'avais délaissé.


Arrivé sur le soir, je croyais rêver lorsque j'entendis à nouveau cette voix que je connaissais si bien mais que j'avais négligée depuis longtemps.


Cette voix me dit : "Georges, vas au culte demain matin , car je te guérirais"


Il y avait si longtemps que je n'étais pas allé à l'assemblée que je me disais : Je vais être terriblement gêné de revenir, et encore plus dans cet état !


Le lendemain, dimanche, je me rendais au culte et, à ma grande surprise, un pasteur de passage, Andres PUERTA qui venait de Colombie, prêchait ce jour là à Nice, dans l'assemblée.


Ma surprise était liée au fait que je n'étais plus au courant depuis longtemps de ce qui se passait dans cette assemblée, d'autant que je n'y sentais pas de réveil spirituel.


Durant tout le culte, j'endurais les souffrances dues à cette position assise inconfortable et je n'avais pas la possibilité de m'allonger.


Je commençais à me demander ce que j'avais réellement entendu dans ma tête la veille et à mettre en doute ce que j'avais entendu de la part de Dieu , d'autant que la fin de la prédication arrivait à son terme et que je ne voyais toujours pas d'amélioration à mon état.


A la fin de la prédication, il y eut un moment de silence. Andres PUERTA scruta la salle et dit à l'assemblée :  Il y à des cas de maladies très graves ici, que les personnes qui se sentent concernées s'avancent, je vais prier pour elles !


Il imposa les mains au Nom de Jésus aux premiers et mon tour arriva. Sans que je lui dise quoi que ce soit, il me dit de la part de Dieu des paroles me concernant. Il avait en effet reçu de Dieu les dons de discernement, de connaissance et de guérison. Il me dit aussi que je devais revenir au Seigneur et que mon service envers Dieu serait plus grand qu'auparavant.


Je me sentais bizarre, j'avais chaud, je ne souffrais plus mais je continuais à marcher très prudemment, évitant tout geste brusque et me méfiant des douleurs sournoises qui ne manquaient pas de surgir à l'improviste lors d'un quelconque mouvement.


Au sortir de la réunion, je m'introduis dans la voiture avec les mêmes précautions d'usage, mais cette fois sans en ressentir les douleurs... Après quelques kilomètres, je commençais à sentir qu'il manquait quelque chose à mon corps ! C'est drôle de dire cela, mais il manquait la douleur !!


On s'habitue tellement à une douleur vive et sournoise qu'au bout d'un moment, sans elle, on ne comprend plus que subitement elle ne soit plus là. J'avais pris l'habitude de vivre avec cette horrible douleur.


Je voulais crier de joie, mais j'étais méfiant, je guettais la moindre réponse à mes mouvements, je me rappelais la promesse que Dieu m'avait faite la veille au soir et je me disais "je vais attendre d'être arrivé chez moi, d'être descendu de la voiture, d'avoir monté les escaliers, d'avoir déjeuné, de marcher dans le jardin, après, on verra !"


Arrivé à mon domicile, je sortis de la voiture délicatement, avec l'allure d'un handicapé, toujours sans la douleur, mais avec la méfiance à fleur de peau !!


Je testai tous mes gestes, tous les mouvements, et j'ai dû me rendre à l'évidence… j'étais complètement guéri !  et quatre mois plus tard,


Dieu m'a de nouveau parlé en me disant : "Georges, si tu réponds à mon appel, si tu te consacres à mon service en respectant ma parole, je te libère à nouveau de l'alcool et du tabac !


Dés ma première réunion de prière où j'ai répondu à Dieu en disant : Pardon Seigneur de m'être éloigné de Toi si longtemps, merci de m'avoir guéri en m'évitant une autre opération.


Selon ta demande Seigneur, je me consacre dès ce jour à ton service, je t'en fait le serment. Délivre-moi à nouveau du tabac et de l'alcool, de sept ans de servitude, que ta promesse à nouveau envers moi s'accomplisse et que je te sois entièrement consacré désormais !


Ce même soir, mes liens tombèrent ! Je fus de nouveau complètement guéri du tabac "journalier et de l'addiction à l'alcool .


Depuis Avril 2000, ma reconnaissance envers Dieu me fait témoigner de ce que vous venez de lire et je Lui suis entièrement consacré.